Le Moringa bio est également appelé l’arbre du miracle. Ce surnom peut sembler présomptueux au premier abord, mais le Moringa bio ne l’a nullement usurpé, tant ses qualités et ses bénéfices sont nombreux.
Riche en vitamines, en minéraux et en protéines, il permet à la fois de prévenir, de soulager et de soigner de nombreuses maladies bénignes ou chroniques (diabète, hypertension, inflammations, déséquilibre hormonal ou immunitaire…). Sa réputation a fait le tour du monde et ses adeptes se comptent par centaines de millions. Il est utilisé aussi bien par la médecine traditionnelle que la médecine moderne et fait l’unanimité chez les nutritionnistes et les diététiciens. Le Moringa bio est, plus que jamais, une plante miraculeuse.
Les origines du Moringa bio
Le Moringa bio, dérivé du mot tamil ‘’Murungai’’, est issu de la famille des Moringaceae dont il est le seul genre. Il est composé de 13 espèces, la plus connue et la plus cultivée étant le Moringa Oleifera, éponyme du Moringa bio que nous connaissons. Ce dernier se présente sous forme d’arbre pouvant atteindre une hauteur de 15 mètres. Il est particulièrement adapté aux climats chauds et secs, grâce à ses facultés de résistance et de rétention d’eau.
Les premières références sur cet arbre remontent à 2000 av. J.-C. dans les contreforts de l’Himalaya au nord-est de l’Inde, où il était couramment utilisé pour ses qualités thérapeutiques et médicinales. Sa notoriété et sa culture a alors progressivement franchi les frontières, se propageant d’abord sur tout le sous-continent indien jusqu’au Sri Lanka, avant de se répandre dans des contrées chaudes plus lointaines : Asie du Sud-est, contour méditerranéen, et enfin l’Afrique, les Antilles et l’Amérique. La bonne réputation du Moringa bio a traversé les âges et les civilisations sans jamais se démentir. La médecine traditionnelle indienne, l’ayurvédique, recensait déjà son pouvoir de guérir plus de trois cents maladies. Les Égyptiens utilisaient son huile pour entretenir leur peau et la protéger du soleil. La littérature médicale de la Grèce antique encensait ses effets bénéfiques sur la santé. Les Romains pour leur part l’utilisaient à la fois comme remède et comme complément alimentaire.
Les raisons du succès du Moringa bio
L’omnipotente industrie pharmaceutique essaye de ne pas ébruiter les qualités du Maringa et pour cause, il représenterait une menace directe à leurs profits bien établis. Vous l’aurez compris, si le Moringa bio connaît autant de succès auprès des populations et suscite des craintes chez les groupes pharmaceutiques, c’est avant tout pour ses incroyables pouvoirs curatifs. Appelé par certains l’arbre du miracle ou l’arbre de la vie, il offre une alternative naturelle, peu coûteuse et respectueuse de l’environnement. Chaque année, de nouvelles recherches viennent étayer son efficacité thérapeutique grâce à la combinaison de ses nombreux principes actifs.
Au-delà de l’aspect médicinal, le Moringa bio est également plébiscité pour son apport nutritionnel (super-aliment) et ses qualités préventives contre les maladies. Comme le dit si bien l’adage, ‘’mieux vaut prévenir que guérir’’. Or le Moringa, surtout ses feuilles, regorge d’une kyrielle impressionnante de vitamines, de minéraux et de protéines indispensables au métabolisme de notre corps. Pouvant être décliné sous différentes formes (poudre , feuilles séchées, infusions…), il s’adapte aux spécificités culinaires de chaque région du globe et reste accessible à toutes les bourses.
La facilité de la culture du Moringa bio joue aussi un rôle important dans le succès qui est le sien. En effet, c’est une plante qui n’a pas besoin de beaucoup d’eau grâce à son système ingénieux qui lui permet de la stocker dans ses racines tuberculeuses. Elle est donc parfaitement adaptée aux régions sèches et arides où l’eau représente une denrée rare et précieuse. De plus, sa croissance rapide en fait un aliment disponible à longueur d’année avec 2 récoltes possibles par année, d’autant plus que toutes les parties de l’arbre sont consommables : les fleurs en infusion, les graines broyées donnent une huile de qualité et ses résidus servent à épurer l’eau, les feuilles fraiches ou séchées en aliment protéique ou thérapeutique.
La liste des bienfaits du Moringa bio
Les vertus du Moringa bio ont été documentées et soigneusement répertoriées grâce aux différentes recherches scientifiques et médicales, mais également en se basant sur les connaissances empiriques accumulées à travers les âges par de nombreuses civilisations.
Peau et cheveux :
Le Moringa bio est composé d’éléments antioxydants qui préviennent l’apparition précoce de rides et de ridules sur le visage. Il nourrit et hydrate tout l’épiderme du corps au niveau cellulaire, y compris le cuir chevelu. Les follicules pileux ainsi revigorés favorisent une repousse de cheveux saine et épaisse pendant que la peau retrouve sa souplesse et son tonus grâce à la stimulation de la production du collagène.
Le Moringa bio agit également d’une manière assez efficace contre les infections cutanées au moyen de ses propriétés antibactériennes et antifongiques. La peau, protégée et immunisée, subit moins d’infections telles que la poussée d’acné ou de pellicules. L’huile de Moringa bio, utilisée depuis l’époque des Pharaons, agit comme agent astringent. Elle resserre les pores afin de limiter l’intrusion de résidus indésirables tout en gardant la peau hydratée de manière prolongée en créant une barrière d’humidité naturelle.
Le Moringa favorise enfin la cicatrisation en accélérant la régénérescence cellulaire. Des chercheurs ont également remarqué lors d’une étude anthropologique que les populations qui consomment le plus le Moringa bio (indiens, sud-américains) avaient une chevelure plus saine et une repousse plus épaisse et forte que chez les autres populations.
Vertus aphrodisiaques
Les fruits du Moringa bio sont utilisés depuis des millénaires pour ses vertus aphrodisiaques. Consommés aussi bien par les femmes que par les hommes, ils stimulent la libido et améliorent sensiblement l’endurance et le tonus sexuel. C’est également un excellent remède contre l’impuissance et la baisse des performances. (source)
Vertus aphrodisiaques
Véritable fléau dans les pays développés, l’hypertension artérielle est responsable des maladies cardiovasculaires et cérébrales qui font chaque année des centaines de milliers de victimes. Stress, sédentarités, âge et mauvaise alimentation en sont les principales causes. Le Moringa bio apporte des bénéfices considérables qui aident à atténuer cette pathologie pernicieuse. Contenant x4 fois plus de potassium que les bananes par exemple, il permet de réduire le taux de sodium dans notre corps, et par ricochet à faire baisser la tension artérielle à long terme. Sa teneur en magnésium, zinc et vitamine E aide les cellules musculaires lisses vasculaires à se détendre et à mieux réguler le flux sanguin vers les différents organes.
Lutte contre le diabète
L’hypertension artérielle et le diabète sont 2 pathologies qui dans bien des cas ont des causes communes. Là encore, la sédentarité et l’alimentation jouent un rôle important (sauf les cas dus à une hérédité génétique). Chez une personne diabétique, le corps n’arrive plus à produire suffisamment d’insuline nécessaire à la décomposition du glucose en énergie. De plus, le diabète est intimement lié à l’hypertension dans la mesure où celui-ci représente un facteur de risque majeur (la majorité des diabétiques de type 2 souffrent d’hypertension). (source).
De récentes études ont montré que l’incorporation du Moringa bio dans son alimentation quotidienne permet de prévenir l’apparition du diabète. En effet, il permet de réguler les niveaux de sucre dans le sang par l’action conjuguée de l’acide chlorogénique et les isothiocyanates. De plus, grâce à sa teneur riche en fibres et en vitamine A et C, il évite aux personnes déjà diagnostiquées avec du diabète de subir ses effets néfastes tels que la rétinopathie diabétique qui touche tout de même 40% des diabétiques.
Prévient le cancer
Selon les recherches publiées par le NCBI (source), le Moringa bio, au même titre que les légumes et l’huile d’olive composant le régime alimentaire méditerranéen, fait partie des aliments reconnus pour leurs bienfaits sur la santé notamment en réduisant les risques de cancers. Il contient en effet un mélange d’acides aminés essentiels et de phytonutriments caroténoïdes qui aident à prévenir l’apparition de certains cancers tels que le cancer de l’estomac ou celui du colon. D’autres actifs jouent également un rôle bénéfique dans cette prévention : le bêta-carotène, la quercétine, les polyphénols ainsi que l’acide chlorogénique.
Antioxydant et anti-inflammatoire
Le Moringa bio possède un des taux d’antioxydants les plus élevés parmi les reste des aliments. Avec une valeur ORAC de 157000 m³, il contient 6 fois plus d’antioxydants que les baies de goji par exemple, qui sont pourtant considérées comme une référence en la matière. La présence de ces substances chimiques naturelles permet d’annihiler les effets néfastes des radicaux libres comme le vieillissement prématuré des cellules.
L’autre qualité reconnue du Moringa bio est sa propriété anti-inflammatoire. Une étude récente du ‘’journal of food Science and technology’’ a montré à cet effet son impact bénéfique sur les niveaux d’inflammation et le stress oxydatif notamment chez les femmes adultes ménopausées. En outre, l’Ayurveda (médecine traditionnelle indienne) l’utilise depuis des siècles pour traiter les ulcères d’estomac, les maladies du foie, les lésions rénales ainsi que les diverses infections fongiques.
Améliore le système digestif
Constipation, diarrhée, gastro-entérite, spasmes. Nous subissons en permanence les affres du dysfonctionnement de notre système digestif. Or, la solution qu’offre à cet égard le Moringa bio est tout à fait stupéfiante. Son apport en calcium permet en effet de faciliter l’action des enzymes digestives. S’ajoute à cela le taux élevé de sa teneur en fibres (31 %) qui aide à maintenir une digestion saine en plus d’équilibrer notre métabolisme. Cela permet de garder un indice de masse corporelle (IMC) idéal aussi bien chez les femmes que chez les hommes.
Protège l’équilibre hormonal et le système immunitaire
Le Moringa bio agit sur l’équilibre hormonal à plusieurs niveaux. Il stimule tout d’abord la production de la sérotonine, également connue sous le surnom ‘’d’hormone du bonheur’’. Celle-ci aide à redonner plus d’énergie à votre corps, à combattre la fatigue et la dépression, à lutter contre l’insomnie et à stabiliser de façon générale notre humeur.
Dans un registre plus féminin cette fois-ci, le Moringa bio permet de prévenir les complications liées au vieillissement et aux changements hormonaux naturels (ménopause). Des essais cliniques ont clairement démontré le pouvoir du Moringa à diminuer les marqueurs du stress oxydatif et le ralentissement des effets du vieillissement.
Le Moringa bio permet également de renforcer notre système immunitaire, en comblant notamment les carences en vitamine A et en nutriments indispensables au bon fonctionnement de notre corps. Dans les pays du tiers monde, il est régulièrement administré aux enfants pour les aider à stimuler leur système immunitaire défaillant ainsi qu’aux femmes enceintes pour les aider à augmenter la production et lactation du lait maternel.
Renforce le système locomoteur : os, musculature, articulation
Les feuilles de Moringa bio ont une teneur en protéines végétales exceptionnellement élevée si on les compare à d’autres aliments comme le bœuf qui en contient x4 fois moins. De plus, la présence d’acides aminés favorise la croissance et le développement de la masse musculaire grâce à une meilleure assimilation des nano molécules biologiques. À ce titre, il est particulièrement adapté aux végétariens qui ont moins de choix dans leur approvisionnement en protéines, aux sportifs qui l’utilisent dans la réparation de microlésions musculaires, ainsi qu’aux enfants souffrant de carences alimentaires. Sa teneur en vitamine B2 booste le métabolisme énergétique et favorise une meilleure oxygénation musculaire.
Les feuilles de Moringa bio permettent aussi de prévenir le déclin de la densité osseuse (ostéoporose) lié à l’âge et de soulager les douleurs articulaires. Elles sont d’ailleurs particulièrement indiquées aux femmes souffrant de symptômes post-ménopause comme l’os poreux. En effet, leur corps ayant de plus en plus de mal à absorber du calcium, les os se retrouvent fragilisés et vulnérables. Il faut également noter que les produits laitiers riches en calcium ne présentent pas forcément une bonne alternative d’approvisionnement à cause d’une teneur en matières grasses et en calories élevée et néfaste.
Il faut savoir que le Moringa bio contient x17 fois plus de calcium que le lait de vache, x25 fois plus de fer que les épinards et 90 différents éléments nutritifs ainsi que 46 types d’antioxydants. Autant dire que ses pouvoirs curatifs et préventifs sont incomparables. De plus, et contrairement au calcium synthétique, le calcium présent dans les feuilles du Moringa bio est naturel et donc facilement absorbable et bio disponible.
Améliore la vue
Nos grands-mères nous conseillaient toujours de manger des carottes pour avoir une bonne vision. Leur assertion se basait sur un savoir ancestral empirique qui avait fait ses preuves dans le temps. Aujourd’hui, les différentes recherches donnent une explication scientifique qui vient étayer leurs dires. Il a ainsi noté que les aliments ayant une haute teneur en bêta-carotène et en vitamine A aidaient à prévenir la dégénérescence maculaire. En effet, le macula (petite zone au fond de la rétine) peut souffrir d’amincissement et d’atrophie qui provoquent une perte progressive de la vision centrale, surtout quand cela est lié à l’âge (on parle alors de DMLA ou de dégénérescence maculaire liée à l’âge).
Or les feuilles de Moringa Olifeira contiennent x4 fois plus de bêta-carotène et de vitamine A que les carottes. Ses effets sur nos yeux sont donc bénéfiques sur le long terme et permettent de prévenir les différents symptômes qui peuvent toucher notre vision grâce en outre à un apport en minéraux et antioxydants non négligeable.
Empêche les infections fongiques et virales
Le Moringa bio est un complément alimentaire idéal dans le traitement des infections fongiques ou de levure (comme le candida), ainsi que celui des infections virales et parasitaires. Ses principes actifs antioxydants jouent en effet un rôle important grâce à leur action ciblée à l’échelle moléculaire et à leur pouvoir curatif et cicatrisant indéniable.
Éléments nutritifs du Moringa bio
Les diététiciens et nutritionnistes recommandent à l’unanimité la consommation du Moringa bio sous toutes ses formes (poudre, infusion, feuilles sèches ou fraiches) pour son apport complet en protéines, vitamines, minéraux et acides aminés. Il fait également partie des aliments plébiscités par l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), le Food and Agriculture Organization (FAO) ainsi que l’Université des Nations-Unis (UNU).
Nutriments | Moringa | Aliments de référence |
---|---|---|
Vitamine A | 6780 mcg | Carottes 1890 mcg |
Vitamine C | 220 mg | Oranges 30mg |
Calcium | 440 mg | Lait de vache 120 mg |
Potassium | 259 mg | Bananes 88 mg |
Protéines | 6,7 mg | Lait 3,2 mg |
Les vitamines
Vitamine A : liposoluble, la vitamine A contenue dans le Moringa bio est principalement composée de carotènes. Les besoins journaliers selon la FAO et l’OMS sont de 2400 UI pour les femmes et 3400 UI pour les hommes (UI : unité internationale, soit entre 0,7 et 1mg). Elle joue un rôle essentiel dans la prévention des troubles de la vision, permet de garder la peau hydratée plus longtemps, stimule la production de la mélanine, renforce la croissance du corps humain et maintient son système immunitaire . Il faut savoir qu’une carence sévère en vitamine A peut entrainer la cécité voir la mort (la majorité des cas répertoriés se trouve dans les pays les moins avancés et qui connaissent une malnutrition chronique voire la famine).
Vitamine B1 (thiamine): hydrosoluble, elle joue un rôle important dans le métabolisme des glucides et le bon fonctionnement du système nerveux. C’est le foie qui transforme la thiamine assimilée par notre corps en pyrophosphate de thiamine (TTP), la forme active de la vitamine B1. Cette dernière figure d’ailleurs dans la liste des nutriments essentiels fournie par l’OMS et l’US institute of medecine. (source:). Les besoins quotidiens conseillés sont de l’ordre de 0,9 mg à 1 mg par jour pour un adulte et de 1,4 mg par jour pour une femme enceinte.
Vitamine B2 (riboflavine) : Elle n’est pas stockée par notre organisme mais se décline sous forme de 2 coenzymes : la FAD (la flavine adénine dinucléotide) et la FMN (flavine mononucléotide). Elles captent l’hydrogène pour une meilleure oxygénation cellulaire et la libération d’énergie. Tout comme la vitamine B1, elle est également hydrosoluble et facilite la transformation des aliments en énergie. Elle permet d’accélérer la guérison des lésions musculaires et est utilisée comme traitement pour certaines maladies comme la jaunisse néonatale. Cependant, son action la plus visible reste sur la peau et les cheveux qui retrouvent un aspect sain, rajeuni et revigoré.
Vitamine B3 (niacine) : nommée également niacine par raccourci, elle est composée dans les faits de 2 éléments : la niacine (Acide nicotinique) et le niacinamide (nicotinamide). Elle est utilisée dans le traitement des personnes souffrant de taux élevé de cholestérol ou pour les cas de pellagre. Une carence en vitamine B3 peut aussi provoquer des nausées, des lésions cutanées ou de muqueuses, une anémie ou la fatigue. La majorité des cas se trouvent néanmoins dans les pays les moins avancés, plus exposés à la malnutrition et la famine. Les recommandations de consommation journalière sont de 11 à 11 mg par jour pour un adulte et de 18 mg par jour pour une femme enceinte.
Vitamine B6 : de toutes les vitamines du groupe B, c’est sans doute la plus connue, et pour cause! C’est une vitamine dite essentielle car notre corps ne sait ni la produire ni la stocker. Son apport vient donc obligatoirement par la voie de l’alimentation et c’est là où la consommation de produits comme le Moringa bio joue un rôle important. Une étude épidémiologique à grande échelle de Nurses Health Study (source : source ) sur 80.000 femmes a montré les bénéfices de la vitamine B6 dans la prévention des maladies cardiovasculaires. Elle permet également de prévenir les calculs rénaux et renforce le système immunitaire et la production hormonale. Sa consommation journalière recommandée par l’OMS et la FAO se situe entre 1,0 mg et 1,3 mg par jour pour un adulte, 1,9 mg par jour pour une femme enceinte et 2,0 mg pour la lactation.
Vitamine B5 (acide pantothénique) : est également un nutriment essentiel pour le corps et indispensable pour son métabolisme. Il participe à un large éventail de rôles biologiques clés comme la synthèse de la coenzyme A (CoA) ou la fabrication des globules rouges (Université of Maryland source ). Concrètement, la vitamine B5 aide à maintenir le tube digestif sain et à synthétiser le bon cholestérol tout en réduisant les triglycérides et les graisses. Elle a aussi des effets bénéfiques sur la peau et favorise une meilleure cicatrisation des lésions cutanées. La consommation journalière recommandée par l’OMS est de 5 mg par jour pour les adultes, 6 mg pour les femmes enceintes et 7 mg pour celles qui allaitent.
Vitamine C (acide L ascorbique) : surtout connue pour son pouvoir antioxydant, elle aide à prévenir de nombreuses maladies telles que le cancer, la maladie de Charcot-Marie-Tooth ou le scorbut grâce à son rôle dans le renforcement du système immunitaire et l’annihilation des effets néfastes des radicaux libres. Elle est également fréquemment utilisée en cas de rhume, de fatigue ou d’épuisement. Listée comme médicament essentiel par l’OMS, elle est nécessaire pour la biosynthèse du collagène, de la L-carnitine et de certains neurotransmetteurs. L’apport nutritionnel quotidien recommandé en vitamine C est de 125 mg par jour pour les fumeurs adultes et de 90 mg pour les non-fumeurs (les fumeurs étant plus enclins à produire de radicaux libres dommageables pour leur santé). Les différentes études ont également montré que la vitamine C contenue dans les aliments est beaucoup plus efficace que la vitamine C synthétique. Cette dernière, déclinée sous forme de comprimés effervescents, contient des doses élevées de chlorure de sodium nocives pour notre organisme.
Le Moringa bio contient également un pourcentage non négligeable en vitamine D, E et K, essentiels pour la régénérescence cellulaire et le renforcement des structures osseuses et musculaires.
Les acides aminés essentiels
Un acide aminé essentiel ne peut, par essence, être synthétisé par notre organisme (ou pas suffisamment) et doit obligatoirement être apporté à notre corps par l’alimentation. Or pour chaque adulte, 8 acides aminés lui sont indispensables : le tryptophane, la méthionine, la valine, la leucine, la lysine, la phénylalanine, la thréonine et l’isoleucine. S’ajoutent à ceux-ci des acides aminés indiqués pour les enfants : l’arginine et l’histidine.
Or le Moringa Oleifera contient en quantité suffisante tous les acides aminés essentiels à notre organisme en plus d’autres acides aminés dits ‘’conditionnellement essentiels’’ comme la tyrosine, la proline ou la glycine. Mieux que ça, le Moringa bio permet de combler les doses journalières recommandées par l’OMS, la FAO et L’UNU. ( source ). Ainsi, chaque acide aminé prodigué par le Moringa bio a un rôle bien précis :
Le tryptophane (Trp) : est utilisé dans la biosynthèse des protéines et comme précurseur biochimique pour des éléments comme la sérotonine, la niacine ou l’auxine. Il agit sur le corps humain comme un antidépresseur naturel et un puissant relaxant. Il améliore en outre la qualité de notre sommeil et prévient le stress et l’anxiété. Il est particulièrement recommandé chez les personnes en surpoids grâce à ses propriétés coupe-faim. La dose journalière conseillée par l’OMS est de 4 mg / kg (exemple : si vous pesez 70 kg, alors cette valeur doit être multipliée par 70, soit 280 mg par jour).
Méthionine : elle est importante dans l’angiogenèse (croissance de nouveaux vaisseaux sanguins à partir de vaisseaux existants) et améliore les conditions des personnes souffrant de Parkinson, d’asthme, d’allergies, d’alcoolisme ou de dépression. Elle revitalise les follicules pileux et les glandes sébacées, retardant ainsi l’apparition de cheveux blancs due à la sénilité. La consommation quotidienne recommandée par l’OMS est de 15 mg par kg.
Thréonine : autre acide aminé utilisé dans la biosynthèse des protéines, c’est un précurseur de la glycine et de l’élévation de son taux dans le cerveau. Elle prévient également la stéatose hépatique en limitant l’accumulation de la graisse dans le foie et en favorisant une meilleure digestion intestinale. La dose quotidienne recommandée par l’OMS est de 15 mg par kg.
Valine : son nom provient de la Valériane officinale, une plante antioxydante qui agit également comme somnifère naturel. Elle est, avec la leucine et l’isoleucine, un acide aminé à chaine ramifiée. Ses bénéfices se focalisent sur la santé musculaire (réparation des tissus et des plaies), la régulation du système immunitaire ainsi que la protection du foie et de la vésicule biliaire. Elle aide aussi à garder un taux de nitrogène adéquat pour l’organisme. La consommation journalière recommandée par l’OMS est de 26 mg par kg.
Histidine : il est précurseur de l’histamine, un agent inflammatoire vital dans les réponses immunitaires. Il est particulièrement efficace dans la lutte contre les allergies et aide à prévenir l’anémie en facilitant le transport de l’oxygène dans les globules rouges. Une carence en Histidine a été notée chez les personnes atteintes de polyarthrite rhumatoïde (forme de rhumatisme inflammatoire chronique). La dose journalière recommandée de l’Histidine par l’OMS est de 10 mg par kg.
Isoleucine : c’est à la fois un acide aminé glucogène et cétogène qui permet de maintenir un taux de glycémie constant dans le sang. Les molécules d’isoleucine ne peuvent être décomposées et assimilées par notre organisme sans la présence de la biotine (vitamine H ou B7) qui fait partie du panel de vitamines composant les feuilles de Moringa. La consommation journalière recommandée par l’OMS est de 20 mg par kg.
Lysine : Elle joue un rôle prépondérant dans l’absorption et la conservation du calcium par notre organisme ainsi que la fabrication de protéines. Elle est notamment connue chez les sportifs de haut niveau pour ses qualités dans la récupération la guérison des lésions musculaires ainsi que la production d’hormones, d’enzymes et d’anticorps. Des études cliniques ont également montré des effets bénéfiques sur la tension artérielle et une diminution substantielle des risques d’AVC ( source ). La consommation journalière recommandée par l’OMS est de 30 mg par kg.
Leucine : elle permet, dans la lignée de la lysine, la synthèse des protéines musculaires. Ayant une saveur naturellement sucrée, elle est souvent utilisée comme exhausteur de goût dans l’industrie agroalimentaire (sous l’appellation E641) et facilite l’incorporation des feuilles de Moringa oleifera dans plusieurs recettes culinaires. Sa consommation quotidienne recommandée par l’OMS est de 39 mg par kg.
Phénylalanine : Il a un pouvoir sucrant supérieur au saccharose tout en ayant un plus faible apport énergétique. Présent naturellement dans le lait maternel, c’est un précurseur de la tyrosine et des monoamines (neurotransmetteurs dérivés d’acides aminés), éléments qui renforcent la mémoire grâce à une meilleure interconnexion neuronale de notre cerveau. Sa consommation journalière recommandée par l’OMS est de 25 mg par kg.
Minéraux et protéines
Le surnom de plante miracle donnée au Moringa bio se justifie par sa haute teneur en minéraux et protéines indispensables au bon fonctionnement de notre organisme. La liste des minéraux est pléthorique et répond aux besoins quotidiens de notre corps avec un apport en calcium, fer, magnésium, manganèse, phosphore, potassium, sodium et zinc. À titre d’exemple, lesgélules de Moringa contient x36fois plus de magnésium que les œufs et x4 fois plus de calcium et de potassium que le lait ou les bananes.
Les protéines ne sont pas en reste et constituent une autre richesse du Moringa Oleifera. Avec une teneur de 28 g par 100 g de poudre de feuilles séchées, il apporte plus de protéines que n’importe quel aliment végétal, voire même la plupart des aliments d’origine animale. De plus, c’est une des rares protéines naturelles à avoir une quantité élevée d’acides aminés à chaine ramifiée (BCAA – Branched Chain Amino Acid). Raison pour laquelle le Moringa bio est apprécié par les sportifs pour son impact positif sur la musculature, mais également par les végétariens qui ne peuvent consommer de protéines d’origine animale et doivent trouver une alternative efficace et bénéfique pour leur santé.
Fibres
Les feuilles et les graines de Moringa (graines extraites des gousses) sont une source non négligeable de fibres alimentaires solubles avec une teneur de 3,2 g/ 100 mg (contenu dans les feuilles), soit x4 fois plus que l’avoine par exemple. L’intérêt des fibres pour l’organisme se manifeste d’abord et avant tout par un bon fonctionnement digestif grâce à un meilleur transit intestinal. Les aliments riches en fibres alimentaires, et tout particulièrement le Moringa bio, stimulent les contractions gastriques et facilitent l’activité bactérienne dans le côlon. Les personnes ayant une alimentation pauvre en fibres en savent quelque chose, avec des constipations et des diarrhées à répétition.
Les fibres alimentaires solubles sont également efficaces dans la lutte contre l’obésité grâce à leur action coupe-faim qui limite les risques de suralimentation. En outre, elles permettent de prévenir plusieurs maladies telles que les maladies cardiovasculaires ou la formation de calculs dans la vésicule biliaire.
Vitamines | Valeur | Minéraux | Valeur |
---|---|---|---|
Vitamine A | 378 ?g (47%) | Calcium | 185 mg (19%) |
Thiamine (B1) | 0,257 mg (22%) | Fer | 4,00 mg (31%) |
Riboflavine (B2) | 0,660 mg (55%) | Magnésium | 147 mg (41%) |
Niacine (B3) | 2,220 mg (15%) | Manganèse | 0,36 mg (17%) |
A. Pantothénique (B5) | 0,125 mg (3%) | Phosphore | 112 mg (16%) |
Vitamine B6 | 1,200 mg (92%) | Potassium | 337 mg (7%) |
Folate (B9) | 40 ?g | Sodium | 9 mg (1%) |
Vitamine C) | Glucides | Énergie | Protéine |
1,40 g | 8,28 g | 64 kcal (270 kj) | 9,40 g |
Propriétés des différentes parties du Moringa
Le gastronome français Jean Brillat-Savarin formulait cette célèbre expression : ‘’tout est bon dans le cochon’’. Au vu de ses nombreux atouts nutritionnels, on pourrait tout aussi bien dire que ‘’tout est bon dans le Moringa’’. Des feuilles aux graines en passant par les racines, chaque partie du Moringa bio présente des qualités spécifiques aussi bien au niveau thérapeutique qu’alimentaire.
Les feuilles : c’est indubitablement le point fort du Moringa. Les feuilles sont en effet la partie la plus nutritive et la plus riche en vitamines, minéraux, acides aminés et fibres. Consommées fraiches, séchées ou en poudre, cuites ou en gélules, les feuilles contiennent les nutriments biodisponibles essentiels à notre organisme : vitamine B, vitamine A (bêta-carotène), vitamine K, manganèse, protéines… C’est donc sans surprise que les feuilles arrivent en première position de la partie la plus consommée du Moringa bio de par le monde.
Les graines : les graines de Moringa bio se consomment de plusieurs manières. Les gousses formées de graines immatures (baguettes) sont le plus souvent cuites pour préserver leur qualité nutritive. Elles sont en effet riches en vitamine C, magnésium, potassium ainsi qu’en fibres alimentaires. Les graines mûres sont quant à elles consommées comme des noix ou des petits pois et ont une teneur élevée en vitamine C et minéraux nutritifs. Les graines mûres produisent également une huile qui peut être comestible ou utilisée comme floculant pour purifier l’eau, la peau ou les cheveux. Elle est aussi utilisée dans l’industrie cosmétique.
Les racines : elles sont broyées et utilisées comme condiments ou exhausteurs de goût, avec des qualités gustatives étonnantes. Les racines sont également bénéfiques pour la santé grâce à leur forte teneur en polyphénol, molécule organique antioxydante aux multiples vertus anticancéreuses, anti-inflammatoires. Elle protège aussi des maladies cardio-vasculaires et neurodégénératives.
Modes de consommation du Moringa
L’un des avantages du Moringa bio est son adaptabilité et sa disponibilité à la consommation sous plusieurs formes. Que ça soit à des fins thérapeutiques, gastronomiques, ou les deux à la fois, le Moringa bio est modulable à souhait et s’accommode à toutes les utilisations en usant de techniques ancestrales ou des dernières innovations technologiques.
En poudre, graines ou gélules : depuis longtemps, les graines de Moringa Olifeira ainsi que ses feuilles séchées sont moulues en poudre pour faciliter leur incorporation dans les mets culinaires mais également leur conservation. Le Moringa bio est aussi décliné en capsules ou gélules à forte concentration pour une meilleure efficacité thérapeutique ainsi qu’une préservation plus efficace dans la durée (il faut environ 6 kg de feuilles de Moringa pour obtenir 1 kg de poudre séchée). Quant aux graines des gousses encore immatures, elles sont préparées comme les haricots verts, puis cuites ou séchées pour conserver leur qualité nutritionnelle.
Recettes culinaires : chaque région du monde a adapté l’utilisation gastronomique du Moringa bio à ses spécificités locales propres. Au Cambodge par exemple, il représente un légume de prédilection utilisé en feuilles pour concocter une soupe traditionnelle appelée Korko. Dans d’autres pays, les feuilles sont employées comme garniture pour les plats de légumes, de salade ou de poisson. Les jeunes feuilles peuvent également être frites ou placées en conserve pour prolonger leur durée d’utilisation. En Inde, le Moringa est fréquemment utilisé dans les bouillons, mais également consommé comme fruit notamment quand les graines sont encore dans leurs gousses. Le Moringa fait office d’excellent ingrédient pour mijoter des sauces succulentes. Les feuilles peuvent être traitées avec de l’huile d’olive et du sel pour une sauce aux pâtes presto (pourraient remplacer ou accompagner le basilique). En Afrique, et à quelques exceptions près, c’est plutôt en poudre que le Moringa est incorporé dans la sauce qui sert à agrémenter le poisson ou la viande. La pâtisserie et la boulangerie ne sont pas en reste. En effet, le Moringa s’intègre très bien dans de nombreuses viennoiseries et tartes où il rehausse le goût tout en apportant une touche d’originalité. Il existe également des pains atypiques à base de feuilles de Moringa, comme au Benin où du pain à la mie serrée et verte connaît un franc succès auprès de la population locale.
Les boissons aussi intègrent le Moringa bio sans grande difficulté. Que ça soit des jus ou des infusions en passant par le thé, sa consommation reste appréciée aussi bien pour le goût que pour les bénéfices sur la santé que cela procure. Ainsi, pour préparer le thé, il suffit d’immerger les feuilles séchées de Moringa bio dans de l’eau chaude pour qu’elles puissent infuser et libérer ses saveurs, de la même manière que le thé vert. Il faut savoir que les érudits du domaine préconisent , pour un meilleur rendement gustatif, de sécher les feuilles lentement à basse température afin de préserver leurs composants nutritifs délicats. Vous obtiendrez alors un thé au pouvoir antioxydant incomparable (sa consommation est d’ailleurs réputée pour être un remède maison qui favorise la production de fibres de collagène par notre corps et retarde l’apparition des rides et des ridules sur notre visage).
Exemple de recette simple à base de Moringa : tarte au Moringa, épinard et crevettes :
1 pâte brisée
300 g d’épinards
2 cuillères à soupe de poudre de Moringa bio
300 g de crevettes décortiquées
3 œufs
50 cl de crème fraiche, sel et poivre
Dérouler la pâte, tailler les bords et la piquer à l’aide d’une fourchette. Mélanger les œufs à la crème fraiche et battre le tout à la façon omelette. Rajouter le sel et le poivre. Verser les épinards, le Moringa bio ainsi que les crevettes. Mettre le tout sur la pâte et laisser cuire au four à 220 degrés pendant 30 min.
La culture du Moringa bio
Régions géographiques et climat
L’arbre de Moringa bio est initialement originaire de la partie septentrionale de l’Inde. Sa popularité à travers les âges a étendu sa culture aux 4 coins du globe, avec une prédilection pour les régions semi-arides, tropicales et subtropicales. Il tolère en effet un climat chaud et sec, ne nécessite pas d’irrigation intensive et s’adapte à tous les types de sols, particulièrement les sols neutres ou légèrement acides (ph 6,3 à 7,0). On le trouve aujourd’hui principalement dans le Sud-Est asiatique (Inde, Phillipines, Bangladesh, Thaïlande), en Afrique, en Amérique du Sud et dans les Caraïbes. Sa culture ne cesse de croître grâce à son succès fulgurant.
Pratique de la culture
L’excavation nécessaire lors de la préparation des sols est peu profonde et permet d’éviter les problèmes liés à l’érosion, un phénomène auquel les régions tropicales sont particulièrement sensibles. Le Moringa peut être propagé à partir de graines ou de boutures, mais c’est l’ensemencement qui est le plus pratiqué, facilité par un taux de germination assez élevé.
Dans les plantations dédiées à une production intensive ou semi-intensive, les plantes sont espacées de 50 cm à 1 m l’une de l’autre afin de faciliter le désherbage, prévenir les maladies et réduire les contraintes de maintenance. Les arbres de Moringa bio sont également cultivés en tant que clôtures naturelles ou associés à d’autres cultures.
Les rendements quant à eux varient selon si le Moringa oleifera est cultivé pour ses feuilles, ses gousses ou ses noyaux pour l’extraction d’huile. Ils varient également selon la saison, la fertilisation et le régime d’irrigation des sols. Dans certaines régions, il est possible d’effectuer 2 récoltes par année, permettant une consommation de manière quasi permanente. En moyenne, un arbre mature peut produire entre 500 à 1000 gousses par an et donner un rendement de 6 tonnes de feuilles et 250 litres d’huile par hectare.
Comme pour chaque plantation, le Moringa oleifera bio est aussi sujet aux ravageurs et aux maladies, mais leur incidence reste mineure comparée aux autres cultures. C’est en effet un arbre assez résistant et robuste qui ne nécessite pas d’être traité avec des pesticides ou des produits chimiques nocifs. La politique de Weightworld est à ce titre stricte et sévère, avec un contrôle en amont afin de garantir des produits dépourvus de traitements chimiques.
Impact social et environnemental de la culture du Moringa bio
Création d’emploi et développement durable : La culture du Moringa bio a permis la création de milliers d’emplois dans le milieu rural des pays en voie de développement. Source de revenus pour de nombreuses familles, elle a joué un rôle important dans l’épanouissement des populations locales et a contribué à diminuer l’exode rural. Weighworld met un point d’honneur à participer activement à ce projet de développement durable en favorisant les petits producteurs afin qu’ils puissent bénéficier d’un commerce équitable et juste.
Reforestation et lutte contre la désertification : dans un monde où l’environnement et le changement climatique deviennent des préoccupations majeures, il est plus que jamais important de privilégier les cultures éco responsables et respectueuses de notre écosystème. Weighworld s’inscrit dans cette logique en encourageant la plantation d’un arbre qui freine l’érosion des sols et stoppe la désertification rampante dans plusieurs régions du globe. (L’exemple de Haïti est édifiant, l’arbre de Moringa bio y a été cultivé comme brise-vent et a permis de réduire de manière conséquente l’érosion des sols source ).
Soulagement de la malnutrition : plusieurs agences onusiennes (FAO, OMS) recommandent de privilégier des cultures à la fois adaptées aux climats locaux, peu couteuses et à fortes valeurs nutritives. L’arbre de Moringa cadre parfaitement avec cette politique grâce à son apport en vitamines et minéraux essentiels qui aident les régions les plus défavorisées à combattre la malnutrition, surtout chez les enfants et les femmes enceintes.
Purification de l’eau : L’ONU a déclaré l’accès à l’eau potable comme un droit fondamental dans sa charte du 28 juillet 2010. Or aujourd’hui encore, des centaines de millions de personnes n’y ont toujours pas accès. Les qualités antiseptiques et purifiantes du Moringa bio peuvent offrir une alternative intéressante à moyen terme. En effet, celui-ci contient des dimères cationiques biodégradables qui absorbent et neutralisent les impuretés présentes dans l’eau, la rendant propre à la consommation. De plus, la poudre de feuilles de Moringa oleifera bio a les mêmes propriétés antiseptiques que le savon et peut également être utilisée comme produit d’hygiène.
Bonjour
Pouvez vous me dire si cette plante peut m’aider pour des polypes dans le nez qui engendrent des sinusites chroniques
Ou une autre plante de votre catalogue ?
Merci pour votre réponse
Bonjour
Les polypes nasaux sont des excroissances bénignes qui envahissent la muqueuse nasale et se posent sur les parois des sinus et du nez. Ces proliférations sont inoffensives, mais elles peuvent obstruer les voies respiratoires. Dans certains cas, elles sont tellement pénibles qu’une opération chirurgicale est indispensable. Les polypes nasaux peuvent survenir à tout âge, tout comme les allergies nasales. Voici comment s’en débarrasser naturellement.
Les symptômes des polypes nasaux
• Encombrement de la respiration nasale voire obstruction nasale quasi permanente
• Troubles de l‘odorat
• Écoulement nasal purulent chronique
• Ronflement accru
• Infections répétées des voies respiratoires, des sinus nasaux et de l’oreille moyenne
• Céphalées fréquentes
• Nasillements lors de l‘élocution
Les causes des polypes nasaux
Les polypes nasaux se produisent lorsque les muqueuses des sinus ou du nez souffrent d’inflammation chronique sécrétant un fluide qui s’accumule dans les cellules. Si cet état n’est pas traité, les polypes nasaux ne font que croître. Voici les causes qui déclenchent la prolifération des polypes nasaux :
• Lésions des muqueuses dues aux inflammations chroniques
• Infections à champignons
• Intolérance à certains médicaments (ex. acide acétylsalicylique)
• Affections métaboliques héréditaires (ex. mucoviscidose)
• Allergie, rhinite allergique
Au début, les polypes nasaux sont totalement inoffensifs, mais en présence de sinusite, d’infections virales, fongiques et bactériennes, ils deviennent dangereux car ils peuvent bloquer les voies respiratoires. Ils entraînent une congestion nasale, des problèmes lors de la respiration, des ronflements, des maux de tête et une perte de l’odorat.
Effectivement la bromélaïne bio et un traitement naturel contre les polypes nasaux.
Il s’agit d’un enzyme prélevé de la tige de l’ananas principalement ; le fruit contient également de la bromélaïne, mais en moins grande quantité.
Elle présente des propriétés anti-inflammatoires aussi intéressantes que la cortisone ; selon une étude menée, elle agirait autant que le médicament Prednisone.
Elle contribue à diminuer les oedèmes et stimule le système immunitaire.
La bromélaïne agirait en dégradant les grosses molécules de protéines et accélérerait ainsi leur digestion ; c’est ainsi qu’elle aiderait à détruire les tumeurs bénignes, les excroissances, les polypes.
Par conséquent, si vous souffrez d’une polypose nasale, la bromélaïne peut vous aider à réduire l’inflammation de la muqueuse nasale, à détruire les polypes et vous faire bénéficier de ses nombreuses autres propriétés, plus d’info sur https://www.bromelaine.bio/.
Par ailleurs, la polypose nasale peut s’accompagner d’asthme. La bromélaïne bio est un mucolytique, c’est-à-dire qu’elle fluidifie les sécrétions. Si, selon certains, elle diminue la viscosité du mucus favorisant ainsi son élimination des voies respiratoires, selon d’autres avis, les mucolytiques ne sont pas conseillés aux asthmatiques. Des précautions s’avèrent donc nécessaires avant de la consommer. Si vous êtes asthmatique, demandez conseil à votre médecin et testez d’abord la réaction de votre organisme par la prise d’une petite quantité de bromélaïne.
Enfin le curcuma bio est un traitement naturel efficace contre les allergies et les polypes nasaux, c’est un produit naturel compatible et complémentaire à la bromélaïne bio contre cette pathologie.
Le curcuma : C’est un décongestionnant nasal naturel.
C’est aussi un excellent traitement contre les polypes nasaux. Le curcuma connaît un engouement mondial de nos jours. Cette herbe est bénéfique pour traiter diverses maladies. C’est un décongestionnant naturel. Grâce à ses propriétés anti-inflammatoires, il stoppe l’accumulation du mucus dans les cavités nasales et décongestionne les voies respiratoires.
Cordialement
L’équipe du laboratoire biologiquement.com
Bonjour,
j’ai commandé de la poudre de moringa, de baobab, de la teinture mère d’artémisia, du desmodium, et de la spiruline en poudre aussi, je souhaite faire une détox foie/vésicule, et booster mon immunité, est ce que ces produits peuvent être pris simultanément ?
D’autre part pour des fissures anales que conseillerez vous ?
Merci de votre réponse et bravo pour votre site très complet
Serge
Bonjour Serge, votre sélection de produits naturels et excellente, il est tout à fait conseillé de les prendre en même temps, pour renforcer rééquilibrer et détoxifier votre métabolisme, ces produits vont aussi améliorer la qualité de votre peau et de vos tissus en général comme ceux de la muqueuse anale. Le problème de fissure anale devrait se régler de lui-même dans les semaines à venir, si vous voulez accélérer le rétablissement utiliser l’huile de baobab, en local.
Au plaisir de vous servir
L’équipe du laboratoire biologiquement
Aldo . bonjour . Je suis atteints de polyhartrite rhumatoide depuis longtemps . Je peux prendre des gélules de moringa et des gélules de baobab baomix pour essayer de combattre la polyhartrite? sachant que je prends des médicaments allopathiques comme : cortancyl ( cortisone : anti – inflammatoire stéroidien appartenant à la classe chimique de cortisone 10mg/j ), eupantol ( gastro-résistant)20mg/j . vos produits sont – ils compatibles avec la prise de ces médicaments que j’ absorbe au quotidien . Merci de votre retour .
Bonjour Aldo,
La polyarthrite rhumatoïde, ou polyarthrite rhumatoïde chronique progressive, est une maladie inflammatoire qui s’aggrave progressivement. L’inflammation atteint progressivement la membrane synoviale située à l’intérieur de l’articulation, qui assure le glissement des surfaces articulaires. Provoque des douleurs et des destructions osseuses, des déchirures tendineuses, elle touche plus fréquemment les femmes de 30 ans et plus, elle a été attribuée aux origines immunologiques de la médecine occidentale, d’où l’importance d’une bonne alimentation.
De nombreuses personnes souffrant de douleurs articulaires évitent de bouger de peur d’aggraver le problème.
Cependant, une bonne activité physique peut avoir l’effet inverse.
Non seulement cela aide à renforcer vos articulations, mais l’activité physique est également importante pour maintenir un poids optimal.
Le surpoids peut avoir des effets désastreux sur l’arthrose. Le stress supplémentaire sur le cartilage peut aggraver l’inflammation.
On pense généralement que pour chaque kilogramme perdu, la pression sur les genoux sera réduite de 4 kilogrammes et la pression sur les hanches sera réduite de 6 kilogrammes.
Il est important de s’échauffer avant de se déplacer. Des mouvements doux tels que hausser les épaules, tourner la tête, embrasser les bras et se pencher doucement vers l’avant et sur les côtés peuvent vous aider à le faire en silence. Répétez chaque action 3 à 5 fois.
Les étirements qui étirent les membres sont particulièrement bons pour les douleurs articulaires.
Mangez de la viande surtout dans les plats où elle n’est pas l’ingrédient principal, de préférence la blanche. Il s’agit principalement de haricots (attention au mode de cuisson, il faut qu’elle soit légère), avec des petits morceaux de viande. C’est aussi comme ça qu’on se nourrit encore dans les pays les plus pauvres, et bien qu’étant pauvres, on ne s’en porte pas plus mal.
Se gaver de produits laitiers, c’est se gaver d’hormones de croissance qui ne sont pas destinées à notre corps. Ce n’est pas un hasard si les nouveaux traitements en oncologie impliquent des thérapies anti-angiogéniques ciblant le tissu tumoral, à savoir les thérapies anti-facteur de croissance.
Le (néo)gluten dans les produits à base de blé, de maïs, de seigle, d’orge et de kamut ou d’épeautre peut favoriser la porosité intestinale. Autrement dit, une intoxication générale de nos organes : au lieu d’être excrétées par nos colons, des molécules nocives comme le lait réveillent nos cellules au potentiel cancérigène. Et endommager notre système immunitaire, ce qui peut entraîner des épidémies de maladies auto-immunes.
Pour cette pathologie, une consommation régulière de gélules de Ginkgo biloba, de poudre de baobab bio Baomix et de feuilles de Moringa bio et d’Artemisia annua est recommandée.
Biologiquement vôtre
L’équipe du laboratoire Biologiquement